En 1964, lors du sommet de l’OUA au Caire, Malcolm X tentait de sensibiliser ses « frères et soeurs africains » aux discriminations vécues par les Afro-Américains. Un discours qui préfigurait l’émotion africaine ressentie, 56 ans plus tard, autour de l’affaire George Floyd…
Six jours après le meurtre de Georges Floyd, cet Afro-Américain de 46 ans, père de deux enfants, mort étouffé sous le genou d’un policier blanc de Minneapolis, le président de la commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, condamnait fermement ce « meurtre survenu (…) aux mains d’agents des forces de l’ordre » et présentait « ses plus sincères condoléances à la famille du défunt ainsi qu’à tous ses proches ».
1/3:Je condamne fermement le meurtre de #GeorgeFloyd, survenu aux #EtatsUnis aux mains d'agents des forces de l'ordre. Je présente mes plus sincères condoléances à la famille du défunt ainsi qu’à tous ses proches. https://t.co/9SxU2r0zy2
— Moussa Faki Mahamat (@AUC_MoussaFaki) May 29, 2020
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