L’Union Européenne exhorte les autorités guinéennes à élucider les circonstances de décès détenus à la maison centrale de Conakry, tous arrêtés au lendemain du scrutin présidentiel d’octobre 2020, demande la libération de tous les prisonniers politique et prend des sanctions contre cinq personnalités accusées d’être impliquées aux massacres du 28 septembre 2009. Ces mesures ont été annoncées, le mercredi 12 mai 2020, par Josep Borrell Fontelles, Haut-Représentant et vice-président de la Commission européenne dans une lettre réponse aux 32 députés européens qui avaient interpellé la Commission sur la situation des droits de l’homme dans le pays d’Alpha Condé.
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