Reportée in extremis il y a une semaine, la présidentielle oppose deux leaders du nord. Et c’est nouveau, tout comme le fut cette décision de report qui aura été vécue « comme une humiliation dans le pays le plus peuplé d’Afrique », souligne d’autant plus Libération que ce report du scrutin a provoqué une « montée des tensions » entre les deux challengers, le président sortant, Muhammadu Buhari, et le principal candidat de l’opposition, Atiku Abubakar, « ainsi qu’un regain de violences dans le nord du pays ».
source: rfi