Bitumage d’axes routiers, nouvelles infrastructures dans les secteurs de l’énergie, des mines et de la logistique, construction de tours de bureaux à Conakry… Les chantiers se multiplient dans la capitale comme à l’intérieur du pays, preuve que l’économie guinéenne se relève progressivement de l’épidémie d’Ebola et de la chute des prix des matières premières qui l’ont frappée de plein fouet en 2014 et 2015.