Pour dénoncer les arrestations dans ses rangs et la mauvaise gestion de la crise que cause le Covid-19, le FNDC a demandé aux populations de la capitale d’observer ce mardi 21 avril une journée ville morte. Un appel non suivi. Les habitants de Conakry ayant préféré vaquer à leurs affaires.
La circulation est fluide, commerce et marchés ouverts. A l’exception de quelques endroits dans la commune de Ratoma, fief de l’UFDG, une des entités composantes du FNDC.
Au moment où le Covid-19 fait une percée significative en Guinée, les Guinéens ne doivent avoir que ce souci de survie dans un pays où il faut travailler le matin pour manger le soir.
Une logique que les politiques devraient comprendre surtout que nombre d’innocents ont payé de leurs ou de leurs biens devant la machine répressive du pouvoir.