Istanbul : Un touriste marocain brûle le drapeau de son pays…

Un proche de l’ancien Chef du Gouvernement marocain, Abdelilah Benkiran, n’a rien trouvé de mieux pour prouver son appartenance indéfectible au mouvement terroriste DAESH que de brûler le drapeau marocain, alors qu’il se trouvait en séjour à Istanbul, lieu de prédilection des islamistes purs et durs.

Il a confirmé son allégeance à ce mouvement terroriste islamiste en déclarant, dans une vidéo, peu avant de commettre son abominable blasphème en déclarant que son drapeau à lui était celui « il n’y a de Dieu que Dieu, et le Mohammed est son Messager ». Un message qui prouve, si besoin est, son appartenance et son allégeance à DAESH.

Et dire, que ce sinistre individu effectuait, avec de nombreux autres marocains, un voyage touristique en Turquie, destination adulée par les islamistes du Parti Justice et Développement (PJD), parti islamiste marocain, et qu’il a été hébergé, par l’Ambassade du Maroc, dans un hôtel, tous comme les autres ressortissants marocains bloqués dans ce pays et ce, au frais du Gouvernement marocain suite à la crise provoquée par la pandémie du COVID-19.

Cet acte d’outrage au drapeau marocain a soulevé un tollé sur les réseaux sociaux, qualifiant cet acte délibéré d’atteinte aux symboles nationaux sacrés du Maroc allant à l’encontre de l’attachement fort des Marocains à leur pays et à leur drapeau national.

Par ailleurs, l’Observatoire marocco-africain pour la défense de l’unité territoriale a réagi fermement à cet acte ostentatoire de ce sinistre individu et confirmé avoir saisi l’Ambassade du Maroc en Turquie en vue d’un dépôt de plainte auprès des autorités turques.

 

Pour l’Observatoire, ce traître et terroriste en puissance devrait être arrêté dès son retour au Maroc pour répondre de son acte devant la justice. Pour rappel, le Code Pénal punit de six mois jusqu’à trois ans de prison ferme et de 10 000 à 100 000 Dirhams d’amende l’outrage à l’emblème et aux symboles du Royaume du Maroc.

Les citoyens marocains condamnent fermement ce comportement lâche et dénoncent ce délit blasphématoire à la sacralité de la souveraineté nationale et une offense à la dignité des Marocaines et Marocains.

Ils ont également réitéré par la même occasion leur attachement indéfectible à un Maroc indivisible et se déclarent tous unis sous les couleurs de leur drapeau national et le leadership de leur Souverain, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, unique garant de l’unité et de la stabilité de la Nation marocain, notamment en cette période de pandémie au COVID-19.

Enfin, il y a lieu de noter, que ces réactions surviennent au moment où Monsieur Abdelilah Benkiran a perdu sa langue face à cet abominable impair de son proche, lui qui l’avait si bien pendue.

Mieux, à la veille du mois sacré de Ramadan, les Marocains fiers de leur Patrie et de leur Roi, souhaitent qu’il aille retourner à ses poubelles, lui qui a fait ses études scientifiques au Lycée des Orangers de Rabat en français et non en arabe pour devenir professeur de physique en 1979 suite à un parcours des plus minables à l’Ecole Normale Supérieure de l’Enseignement Technique de Rabat.

Les Marocains ne peuvent que souhaiter à cet énergumène de proche de Abdelilah Benkiran et à ce dernier d’écouter cette chanson de Craeme Allwright « La chanson de l’adieu » qui incarne la valeur du peuple marocain. Elle aura au moins la chance d’animer leurs cauchemardesques soirées ramadanesques privées faite d’hypocrisies, d’insultes envers le peuple marocain, son Roi et les valeurs sacrées de l’Islam.

D’ailleurs, les Marocaines et Marocains ne pourront trouver plus belle réponse à l’ignominie du sieur Abdelilah Benkiran et de son proche adoré que cette belle chanson de Craeme Allwright « la réponse est soufflée par le vent » !

Farid Mnebhi.