Le clash entre Twitter et Donald Trump éclabousse Facebook, en position délicate depuis que son patron, Mark Zuckerberg, a refusé de sanctionner des propos polémiques du président et est désavoué publiquement par des employés – un phénomène rare dans la Silicon Valley.
« Mark a tort, et je vais m’efforcer de le faire changer d’avis en faisant beaucoup de bruit », a tweeté dimanche Ryan Freitas, directeur du design pour le News Feed (fil d’infos) de Facebook. Il précise avoir rassemblé une cinquantaine de personnes du même avis.
Le clash entre Twitter et Donald Trump éclabousse Facebook, en position délicate depuis que son patron, Mark Zuckerberg, a refusé de sanctionner des propos polémiques du président et est désavoué publiquement par des employés – un phénomène rare dans la Silicon Valley.
« Mark a tort, et je vais m’efforcer de le faire changer d’avis en faisant beaucoup de bruit », a tweeté dimanche Ryan Freitas, directeur du design pour le News Feed (fil d’infos) de Facebook. Il précise avoir rassemblé une cinquantaine de personnes du même avis.
AFP