Interrogé par RFI sur le mandat d’arrêt international contre Sékou Koundouno du FNDC, le coordinateur de cette coalition s’opposant au 3ème mandat du Président Alpha Condé indique que cet acte juridique est une expression d’agacement et de la fébrilité au niveau du système.
«C’est pire qu’une diversion, c’est plutôt l’expression d’un agacement et d’une fébrilité au niveau du système. Ils ont voulu imposer par la force le troisième mandat au peuple d’abord, ça ne peut pas tenir, mais, en même temps, on ne peut effrayer personne avec ces actes qui consistent juste à distraire.» déclare Abdourahmane Sanoh. Lui qui gardait le silence depuis belles lurettes.
Le Jour