Laurent Simons est un petit génie belge au QI très élevé, avec une capacité d’apprentissage hors du commun. À l’âge où les autres enfants s’apprêtent à entrer au collège, il a déjà un parcours universitaire impressionnant. Il ne compte pas s’arrêter là, puisqu’il a l’intention d’entamer des études de médecine à la rentrée.
Obtenir un master en physique quantique à l’âge de 12 ans est un exploit en soi, mais quand on le fait en une année au lieu de deux et qu’on obtient une moyenne de 88% et une mention « Grande distinction », il s’agit d’une performance absolument exceptionnelle. C’est ce que vient d’accomplir Laurent Simons.
Malgré tout, le jeune surdoué affirme à nos confrères du quotidien néerlandophone Het Laatste Nieuws, cité par Le Parisien : « Je n’ai même pas trouvé ça si difficile. » Comme si cela ne suffisait pas, il ajoute : « Je n’ai pas encore atteint mon maximum, mes limites sont plus élevées. »
Entré au collège à 7 ans et à l’université à 9 ans
Évidemment, pour arriver à de tels résultats, Laurent n’a pas commencé à avoir des performances scolaires exceptionnelles la veille. Son parcours scolaire en dit long, comme le résume le média belge Flair. Il a d’abord terminé tout le cursus du primaire en l’espace d’un an et demi. Il est donc entré au collège à l’âge de 7 ans, puis à l’université à l’âge de 9 ans.
Ce qui explique son succès ? Un QI de 145 (la moyenne étant entre 90 et 100), accompagné d’une capacité de mémorisation surdéveloppée.
Ce master n’est que « la première pièce du puzzle »
Comme on peut s’en douter, Laurent Simons ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Il a l’intention de poursuivre ses études dans le domaine de la médecine, un cursus qui dure habituellement entre 9 et 12 ans. En combien d’années pensez‑vous qu’il y arrivera ?
Quoi qu’il en soit, le jeune surdoué a un plan bien arrêté dans sa tête. Il rêve de participer à l’élaboration d’organes artificiels. « J’ai le chemin en tête pour y arriver. La physique quantique – l’étude des plus petites particules – est la première pièce du puzzle », assure‑t‑il.
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