Les Forces vives de Guinée qui réclament un dialogue inclusif ne tiendront pas leur marche du 20 mars 2023. Elles en ont décidé ainsi à l’issue d’une réunion tenue ce samedi. Sur fond de divergences.
Tout porte à croire désormais qu’il faut donner la chance à la médiation menée par les chefs religieux. Le premier ministre, Bernard Goumou qui ne lâche pas prise avait réussi à convaincre la gendarmerie l’abandon des poursuites judiciaires contre l’activiste Abdoul Sacko. Accédant ainsi à une réclame des forces vives qui en faisaient une exigence pour tout retour aux pourparlers sous l’égide des chefs religieux.
Le Jour