Jusqu’au départ à la retraite du Dr Ahmad Mohammad Ali en 2016, la Banque s’est transformée, au cours de ses quatre décennies d’existence, en une institution de classe mondiale, menant des projets de développement dans ses 57 pays membres et 78 pays non membres
L’Institut de la Banque Islamique de Développement (IsDBI) a le plaisir d’annoncer la sortie de la version française du livre intitulé « La Banque Islamique de Développement et le Dr Ahmad Mohammad Ali : Histoire d’une institution et parcours d’un président ».
Initialement publié en Arabe, puis en Anglais, le livre documente l’histoire remarquable et les réalisations exceptionnelles de la Banque islamique de développement (BID), ainsi que les étapes clés franchies par l’institution dans le contexte des développements mondiaux et régionaux.
Jusqu’au départ à la retraite du Dr Ahmad Mohammad Ali en 2016, la Banque s’est transformée, au cours de ses quatre décennies d’existence, en une institution de classe mondiale, menant des projets de développement dans ses 57 pays membres et 78 pays non membres. Au total, elle a approuvé un montant d’environ 122 milliards de dollars à la fin de 2016, tout en réussissant à obtenir de manière constante la notation de crédit la plus élevée depuis plus de 20 ans.
Le livre met en lumière ces réussites et bien d’autres encore. Il couvre également les initiatives clés du premier président de la BID et les idées qui l’ont inspiré dans sa détermination à favoriser le progrès socio-économique des pays et communautés membres.
Écrit dans un style simple mais très structuré, le livre a été rédigé par deux hauts fonctionnaires à la retraite de la BID, le Dr Marwan Seifeddine et M. El Mansour Ben Feten, qui ont travaillé auparavant comme conseillers du premier président et comme directeurs de département.
Commentant la sortie de la version française du livre, Dr. Sami Al-Suwailem, directeur général par intérim de l’IsDBI, a déclaré : « Nous sommes heureux que ce livre inspirant soit désormais disponible dans trois langues principales : l’arabe, l’anglais et le français. Nous espérons qu’il constituera un excellent document de référence et contribuera au réservoir de connaissances au profit de toutes les parties prenantes dans nos pays membres et au-delà ».