Sous un ciel obscurci, où l’espoir s’étiole,
La Guinée gémit, blessée, ensanglantée.
Les chaînes de la peur serrent autour de la gorge,
Mais dans les cœurs, une flamme continue de brûler.
Dans l’ombre de la nuit, où les ombres dansent,
Un rêve persiste, tenace et vivant.
Celui d’une aube nouvelle, d’un jour qui se lève,
Où la liberté enfin pourra s’épanouir.
Les larmes salées ruissellent sur les visages,
Témoins d’un peuple qui souffre et qui résiste.
Mais au-delà des pleurs, un espoir s’enflamme,
Une promesse d’avenir, une lumière qui persiste.
Les chaînes se briseront, les murs tomberont,
Et les oiseaux de la liberté pourront enfin voler.
Un jour viendra où la paix régnera sur nos terres,
Et où la joie remplacera la douleur.
Alors, gardons espoir, même dans les ténèbres,
Car l’aube promise finira par se lever.
Ensemble, nous construirons un monde meilleur,
Où nos enfants pourront vivre libres et heureux.
Oumar Kateb Yacine
Le 1er mars 2025